L’exposition Un village de l’arrière dans la Grande guerre arrive enfin à La Perrière. Un bel hommage à Paul LANCRE.
Voici en exclusivité l’affiche avec toutes les infos pour venir la découvrir.
Verger à vendre
Beau verger de 7 000 m2 à vendre dans un très bel environnement de La Perrière, situé aux confins de Montgaudry, comprenant de nombreux pommiers, dont certains, aux dires des connaisseurs, sont assez anciens et rares (pommes à cidre et pomme à couteau). Desservi par un chemin communal (GR22), il offre une jolie vue dominant la vallée, donnant à voir le manoir de Soisay, le village de Montgaudry et de La Perrière. Le terrain très bien entretenu, entièrement clos de haies bocagères.
Ce bien est vendu au prix du terrain agricole, il n’est pas constructible.
80 m2 habitables. Entièrement restaurée en 2010.
RDC : Salon – Cuisine aménagée – Bureau – 1pièce
1 étage : Chambre – Salle de bain – Dressing – petit grenier isolé.
Jardin japonisant clos de 120 m2
+ Terrain de 200 m2 avec garage en bois et vue imprenable sur le bocage percheron.
Plus d’infos au 02 33 25 66 14
Située dans la commune de La Perrière, aux confins de Montgaudry, au bout de son chemin, dans un très bel environnement totalement préservé, charmante maison de campagne en L, couverte en tuiles anciennes. Elle comprend, au RdC : garage atelier, salon avec cheminée, grande cuisine, petite chambre avec placard, petit salon avec cheminée, salle de bain, WC. A l’étage : palier distribuant deux chambres sous combles et grenier aménageable. Chauffage central au fuel (chaudière récente). Chauffe eau récent.
La maison est entourée d’un vaste et beau jardin arboré et fleuri entièrement clos de 4800 m2 comprenant un abris/bûcher.
Possibilité d’acquérir un verger attenant de 7000 m2.
150 000 eur. Plus en savoir plus : 06 73 19 40 41
Hier s’ouvrait le salon de l’Agriculture à Paris.
A La Perrière à 2 km du bourg (fléchage à la mairie), tous les dimanche et jeudi de 10 à 19h, Cécile et Thierry HERMELINE vous accueillent dans leur ferme La Grande Suardière et vous proposent une vingtaine de pains bio.
Un circuit court et bio : le couple fabrique son pain en cultivant son propre blé issu de variétés anciennes et en produisant sa farine sur place dans une meunerie.
Les rues et ruelles, place et placettes, jardins et granges des habitants de La Perrière se transformeront encore cette année en galerie d’art lors de son Marché d’Art les 24 et 25 mai prochain. La Perrière a également servi de décor pour le film Madame BOVARY. A l’Automne 2013, l’équipe de tournage du film, réalisé par Sophie Barthes, a tourné quelques scènes à La Perrière profitant du cadre préservé du village et son environnement unique. (chambre d’Emma, site de l’éperon…)
Pas de date de sortie sur les écrans français pour le moment.
(Cliquer sur la photo pour lancer la bande annonce)
Rien de prévu dans les 2 semaines? Alors direction les Archives départementales de l’Orne où se tient la formidable exposition des photos de Paul LANCRE: La Perrière pendant la Grande guerre. Après le 20 février, il sera trop tard… Mais séance de rattrapage à La Perrière même puis que les photos y seront prochainement présentées.
A partir de ce mardi 11 novembre, les archives départementales de l’Orne proposent une exposition de photographies d’époque qui raconte la vie dans le village de La Perrière pendant la guerre 14-18.
« Un village de l’arrière dans la Première Guerre mondiale », c’est le nom de cette exposition qui rassemble plus de 100 clichés du photographe Paul Lancre. Né en 1881, il a réalisé des centaines de clichés sur la vie quotidienne pendant la guerre dans une petite commune de l’Orne : La Perrière.
L’homme était natif de La Perrière, il était le fils du notaire. Ses photos sont à la fois artistiques et documentaires. Elles témoignent du quotidien des habitants pendant cette période difficile. Un quotidien villageois rarement photographié.
« Par la diversité des sujets traités, par la précision des légendes, ses photographies ont une valeur universelle. Elles illustrent de nombreux aspects de la vie à l’arrière qui ne sont habituellement perçus qu’à travers les sources écrites : la présence des troupes alliées, des prisonniers allemands, les réfugiés, l’effort de guerre avec les bûcherons canadiens, la conscription, la présence épisodique des permissionnaires, les femmes et les enfants, le travail des champs, la fraternité avec les Alliés et les prisonniers« , explique le site des archives départementales.